tout n'est pas simple :!

J’aimerais avoir votre ressentiment, sur ce que je vais vous raconter. Pour savoir, si je suis le seul à le ressentir, ou si c’est normal chez un expérienceur.

Je ne sais pas par om commencer, alors, je vais laisser mes pensées écrire.
Je ne peux m’empêcher de pleurer de joie, lorsque je vois de l’amour dans la rue, en écoutant une chanson, en regardant un film.
Je pleure aussi de tristesse, lorsque je vois une femme marcher dans la rue, avec son petit enfant à la main. Celle-ci marche à sa vitesse, et son enfant est obliger de courir pour arriver à la suivre. La maman s’arrête de temps en temps, et rouspète son enfant, car il ne va pas assez vite. Elle ne pense pas que cet enfant est petit que pour un pas de sa mère, il doit en faire trois ou quatre. En voyant cet enfant pratiquement tiré par la main de sa mère, me fait pleurer de tristesse, car je ressens la tension qu’à sa mère que son enfant n’est pas assez rapide, et la tristesse de ce petit, qui, tant bien que mal essaye de faire ce qu’il peut.

Je pleure aussi, lorsque je vois des mères ou pères, criant après leur enfant, car celui-ci fait une chose qui ne plait pas. Ses parents, au lieu d’expliquer à leur enfant la raison de ce qu’il ne faut pas faire, il crie après, ou lui met une claque sur les fesses.

Je pleure de joie, lorsque un couple ce jette dans les bras, car l’amour à besoin de contact, et de regard.
Je suis là, assis sur un banc, en attendant que l’école de mon fils s’ouvre, je regarde cette feuille de tilleul, arrachée par un enfant ou un parent, je prend cette feuille dans mes mains, et je la câline, je lui donne du bonheur au lieu de la cruauté, jusqu’à ce que son aura quitte la feuille.
Je pleure de tristesse, de voir que cette feuille à été arracher avant qu’elle n’est finie son cycle. Je pleure ensuite de joie, lorsque je vois son aura quitter son corps, d’une façon sereine.

Je pense, que les NDE, apportent un grand bonheur et à la fois, un grande souffrance.
• Un grand bonheur, car lorsque je suis dehors, ou même chez moi, je ressens l’amour des autres. Cela ma fait rayonner le plexus, car il n’est permis à tous, de sentir cette joie et cette amour, cette sensation peut venir d’une fleur, d’un arbre, d’une personne, de tout ce qu’il vie.

• une grande souffrance, lorsque vous sentez de la tension dans une maison, lorsque vous êtes dehors, avec du monde autour de vous. La souffrance du manque d’argent, du manque d’amour, du manque de la vie tout simplement. Devant, dans mon jardin, j’ai un pêcher, je le vois et le sens souffrir, car il a la maladie des feuilles qui se recroquevillent sur elles-mêmes, je le traite, mais rien à faire, ses feuilles malades continues de tomber.
De voir et de sentir tout cet amour qui est disperser, et qui ne trouve pas de réceptacle pour grandir.
Je suis triste aussi de voir, que l’on ne laisse plus grandir les enfants à leurs rythmes. Le système écolier veut que des petits de cinq ans, travaillent aussi vite que des adultes. Le non respect de chaque être, qui vie à un allure différente. Certain petit son rapide, et d’autre, comme le mien , est olus lent. Car depuis qu’il est petit, je lui ai appris à vivre sa vie pleinement, à prencre le temps qu’il lui fallait pour faire ce qu’il à à faire. Et non pas qu’il doit avancer à la vitesse que je lui demande.

Ma NDE, m’a appris que le temps n’existait pas, que nous avons chacun de nous, une horloge différente. Pour certain, il leurs faut 25 heures pour accomplir leur journée, et d’autres qui leur faut que 22 heures, Nous avons chacun notre rythme, et cela pour moi, est très important.

Nous ne sommes plus axer sur le temps des humains, mais sur celui qui nous fait vivre et nous fait grandir. Je n’arrive pas à dire aux autres qu’il faut faire d’une façon différente de mes convictions. Je laisse le libre choix, je n’impose rien, j’explique le positif et le négatif de chaque chose et chaque évènement que ceux qui m’entourent ont. Je ne leurs dis pas quoi faire, je les laisse décider seule.

Pour ma part, la vie d’un expérienceur est un combat de tous les jours, beaucoup de bonheur et de joie, mais aussi des larmes, des larmes de bonheur ou de malheur. Pour moi, j’ai la sensation de vivre à la fois sur terre, et aussi sur un autre plan.

Je vous souhaite à tous, une bonne journée

guy

Coucou Guy ,

Tu as bien raison de le dire : tout n'est pas simple ...ou rien n'est facile..

Je n'ai pas fait de NDE, mais par d'autres moyens de souffrances, et d'initiation de mes Guides, j'en suis arrivée à ce point de vue là aussi .

Nous ressentons TOUT TROP FORT . Je ne vais pas redire ce que tu as écris, mais pour moi aussi , c'est comme çà (sauf pour l'aura des feuilles mourantes, heureusement !)

Mon mari m'appelle souvent "la pleureuse"....et me dit en riant, sans méchanceté, que je pourrais en faire un métier...!

Depuis quelque temps, j'ai appris à bloquer mes larmes et à les transformer en énergie . Je n'y arrive pas encore à chaque fois, mais j'y arrive ....
Car, les larmes, sont de l'énergie qui se perd . Après, on s'étonne d'être "à plat".....

Oui, la vie d'un expérienceur est un rude combat. Hier encore, j'en ai fait une mauvaise expérience, que je ne vais pas raconter là, car elle serait hors sujet

Voilà une bonne raison de sourire
Ce matin, le soleil est timide, mais les petits oiseaux sont devant mes fenêtres, en train de se gaver du pain passé au mixeur que je leur distribue tous les jours (souvent, c'est du gateau ). C'est un spectacle, dont je ne me lasse pas.... Bon appétit à eux....

Gros bisous, à tous, et

Claudia

Claudia a écrit:

Coucou Guy ,

Tu as bien raison de le dire : tout n'est pas simple ...ou rien n'est facile..

Je n'ai pas fait de NDE, mais par d'autres moyens de souffrances, et d'initiation de mes Guides, j'en suis arrivée à ce point de vue là aussi .

Nous ressentons TOUT TROP FORT . Je ne vais pas redire ce que tu as écris, mais pour moi aussi , c'est comme çà (sauf pour l'aura des feuilles mourantes, heureusement !)

Mon mari m'appelle souvent "la pleureuse"....et me dit en riant, sans méchanceté, que je pourrais en faire un métier...!

Depuis quelque temps, j'ai appris à bloquer mes larmes et à les transformer en énergie . Je n'y arrive pas encore à chaque fois, mais j'y arrive ....
Car, les larmes, sont de l'énergie qui se perd . Après, on s'étonne d'être "à plat".....

Oui, la vie d'un expérienceur est un rude combat. Hier encore, j'en ai fait une mauvaise expérience, que je ne vais pas raconter là, car elle serait hors sujet

Voilà une bonne raison de sourire
Ce matin, le soleil est timide, mais les petits oiseaux sont devant mes fenêtres, en train de se gaver du pain passé au mixeur que je leur distribue tous les jours (souvent, c'est du gateau ). C'est un spectacle, dont je ne me lasse pas.... Bon appétit à eux....

Gros bisous, à tous, et

Claudia

Bonjour Claudia,

pour moi, chaque larmes qui coulent de mon visage, je l'a dédit à une autre personne en souffrance ou en douleur, afin que le divin ce sert de cette larmes, pour leurs donner une goutte de bonheur.

Gros bisous Claudia

guy

Bonjour/soir à mon Frère et ma Soeur,

C'est très beau de vous lire ! Cela dégage beaucoup de belles vibrations.

Je vous comprends très bien, je ne suis pas toujours comme ça, mais cela m'est arrivé ponctuellement.
Pour le fait d'être dans deux mondes à la fois c'est tout à fait cela.
La conscience sait toujours que cela n'est pas la seule réalité, comme-ci en permanence on se savait vivre dans un monde de rêve, avec un niveau de conscience moins Eveillé que ceux que l'on connait déjà.

Heureusement j'arrive à retrouver un plan de conscience plus réel à mon sens, quand je retourne Au Dedans grace à la méditation, sinon la vie serait impossible, tant la séparation que je ressens avec l'autre monde est douloureuse parfois...j'en ai souvent la gorge et le coeur serré.

En méditation, je me dépouille et me libère de cet égo et me jette tout entier de l'existence pure. Jesus disait que celui qui boirait de son eau n'aurait plus soif. C'est vrai que pour le spirituel, c'est la seule chose qui comble sa soif au quotidien. Boire à la Source de Cela.

Merci encore pour vos écrits les amis/es.

Bises,

Pierre

Bonjour Guy

C'est touchant de lire ton message,tu as une grande sensibilité.

Dans mon cas,je n'ai pas fait de NDE,toutefois,à l'âge de 5 ans,je fus dans le coma pendant une semaine,ma mère pensait que je ne survivrais pas à mon opération.

Je pleure souvent dans la nature,je ressens tellement une belle énergie,je m'émerveille devant tant de choses.

L'année dernière,par exemple,j'ai vu un père avec son jeune fils âgé d'un an environ,ils étaient au jardin botanique de Montréal,nous regardions un grand héron qui nettoyait son plumage,le père parlait doucement à son petit,tout était calme,c'était si agréable de voir l'émerveillement dans le regard de cet homme,il savourait cet instant de bonheur.
Moi j'avais les larmes aux yeux devant ce beau spectacle.

Toutefois,si je rencontre des gens en colère,je la ressens énormément,j'ai des pincements au coeur.

Je préfère être plus sensible,même si parfois c'est difficile à vivre,que d'être une personne blasée qui ne s'émerveille plus du tout,ne plus s'émerveiller pour moi cela ressemble à la mort.

Bonne journée Guy

linda a écrit:

Bonjour Guy

C'est touchant de lire ton message,tu as une grande sensibilité.

Dans mon cas,je n'ai pas fait de NDE,toutefois,à l'âge de 5 ans,je fus dans le coma pendant une semaine,ma mère pensait que je ne survivrais pas à mon opération.

Je pleure souvent dans la nature,je ressens tellement une belle énergie,je m'émerveille devant tant de choses.

L'année dernière,par exemple,j'ai vu un père avec son jeune fils âgé d'un an environ,ils étaient au jardin botanique de Montréal,nous regardions un grand héron qui nettoyait son plumage,le père parlait doucement à son petit,tout était calme,c'était si agréable de voir l'émerveillement dans le regard de cet homme,il savourait cet instant de bonheur.
Moi j'avais les larmes aux yeux devant ce beau spectacle.

Toutefois,si je rencontre des gens en colère,je la ressens énormément,j'ai des pincements au coeur.

Je préfère être plus sensible,même si parfois c'est difficile à vivre,que d'être une personne blasée qui ne s'émerveille plus du tout,ne plus s'émerveiller pour moi cela ressemble à la mort.

Bonne journée Guy

Merci pour le partage que tu viens de faire avec nous.

lorsque je vois des personnes en colère, je pleure aussi parce qu'ils ne savent pas que de ce sonner de l'amour est bien plus enrichissant que la colère.

Ne plus s'émerveillé, ne ressemble pas à la mort, la mort est un émerveillement.

la sensibilité n'est pas dure à vivre, elle fait mal, car le partage ne ce fait pas. c'est cela qui pour moi, est dure à vivre.

A bientôt


guy

J'ai du retard mais ce témoignage me touche parce que je vis ce genre de moment comme toi mais sans pouvoir l'expliquer.Des choses simples qui me remplissent de bonheur : sourire à une vieille dame dans la rue parce qu'elle a l'air gentille, s'émerveiller du spectacle de la nature qui nous rapproche de l'éternel, sentir combien le monde crée est beau et se souvenir que tout ceci est pour nous et que la vie malgré les difficultés n'est pas triste.Se rappeler combien le temps et l'espace sont des illusions.
Je suis moi même très sensible mais je préfère dire que je suis "sensitif" parce que cela convient mieux à la définition d'une telle sensation.Pour trop de gens un homme sensible est un demi homme.
Cela me rappelle l'histoire qu'Emmet Fox raconte dans un de ses livres:
un ténor un jour est venu le voir en maudissant sa sensibilité qui le mettait mal à l'aise lors de ses spectacles.Emmet Fox lui a répondu qu'on lui avait donné cette capacité de résonner, de ressentir plus et qu'il devait la bénir parce que sans elle il ne serait pas un grand ténor.De même pour beaucoup d'artistes.

Re Bonjour Guy,

J'ai lu attentivement ton texte concernant la souffrance et le bonheur. Dans la voie que je suis, par exemple, tant qu'il existe en nous un quelconque principe de dualité : tout ce qui s'oppose et se combat, empêche un expérimentateur d'atteindre la paix du samadhî.

" Le sage ne pleure ni les vivants ni les morts, sachant "l'âme" immortelle". De plus pour que la paix soit stable dans le moi, il faut regarder le monde (samsara) sans interférer avec lui, mais il est capital d'accomplr son devoir le tout en total détachement avec les réactions que ce monde suscite. Bien ce n'est qu'un conseil et je n'impose pas non plus, je témoigne, car ma pratique m'a conduit à me détacher sans pour autant être indifférent. Mais pleurer ou rire fait partie de la dualité et tant que cette dualité interfère sur notre mental, il est pratiquement impossible de connaître la paix intérieure puisqu'il y a conflit et s'il y a conflit, nécessairement, il y a une lutte incessante qui égare le mental l'empêchant de demeurer dans la vacuité du samsara.

Michel

Coucou ,

Personnellement je pleure et rit beaucoup.....c'est mon coté humain,
mais très vite, sachant ce que tu dis, Michel, je retombe dans le calme et la paix .

Je n'ai vraiment pas l'impression qu'il y ait un quelconque conflit .

Je suis bien , dans mes larmes,
Je suis bien, dans mes éclats de rire,
Et je suis bien, quand je suis dans la paix.

Tout celà cohabite normalement, sans heurt....Je pourrais peut-être dire que cette dualité n'interfère pas sur mon mental....

Souvent mon être humain pleure ou rit, et et derrière, mon être spirituel sait que c'est sans importance . Et très vite, la paix est là....

Gros bisous à tous

Claudia

question de point de vue, vous avez raison tout les deux.

Bien que de conception différente vous allé vers le même but.

Et comme dirair Jésus, Dans le royaume de mon Père, il y a plusieur demeures.

Bonsoir


et oui tel est notre quotidien qu'on le veuille ou pas après nos evantails d'experiences
je n'est jamais osé decrire mon detachement a quelqu'un car je suis sur qu'il le prendrai mal ou de travers mais sa ce voie mais je prefère les laisser perplexe plutot que de m'expliquer la dessus

mais on fait semblant "pour la vie " mais ce n'est plus contragnant parcequ'on sais ce qu'on fait et pourquoi desormé mais surtout on s'encombre beaucoup moin spicho-parlant aussi

je comprend bien guy et c'est pour ça que je suis bien pressé quand meme de retourner mediter le plus souvent c'est dans un autre sujet je croi
ce detachement recel une grande force a nous d'etre humble quand elle est en nous pour ainsi dire toujours donc elle nous lachera plus je pense

mais la douleur physique j'ai pas reussi a passé outre encore mais ça m'interesse tu pourrais creer ce sujet guy
sinon pour confidance moi je me met a chialer que quand je pense a eux c'est pour cela que j'ai arreté un peu
ils m'on quand meme vachement bien marqué "ces amours"

Bonsoir Mailla,

Je vais suivre tes conseils, je vais mettre un nouveau forum. Je pense commencer à écrire sur ce sujet de la douleur et de la souffrance.

gros bisous

guy

Michel1 a écrit:

Re Bonjour Guy,

J'ai lu attentivement ton texte concernant la souffrance et le bonheur. Dans la voie que je suis, par exemple, tant qu'il existe en nous un quelconque principe de dualité : tout ce qui s'oppose et se combat, empêche un expérimentateur d'atteindre la paix du samadhî.

" Le sage ne pleure ni les vivants ni les morts, sachant "l'âme" immortelle". De plus pour que la paix soit stable dans le moi, il faut regarder le monde (samsara) sans interférer avec lui, mais il est capital d'accomplr son devoir le tout en total détachement avec les réactions que ce monde suscite. Bien ce n'est qu'un conseil et je n'impose pas non plus, je témoigne, car ma pratique m'a conduit à me détacher sans pour autant être indifférent. Mais pleurer ou rire fait partie de la dualité et tant que cette dualité interfère sur notre mental, il est pratiquement impossible de connaître la paix intérieure puisqu'il y a conflit et s'il y a conflit, nécessairement, il y a une lutte incessante qui égare le mental l'empêchant de demeurer dans la vacuité du samsara.

Michel

Hello,

Ce week-end j'ai rencontré Michel de visu après presque deux ans d'échange par msn ou mail interposé. Tout ce qu'il a écrit ici, il l'a bel et bien mis en pratique. Il en résulte que son esprit s'est libéré et demeure dans une paix ininterrompue maintenant.
Alors oui, il est possibe de se libérer de la souffrance tout comme l'enseignait Siddhârta, Krishna, Jesus et beaucoup d'autres. L'extinction de la souffrance est à la porté de tout ceux qui suivent sincèrement une Voie spirituelle, peut importe laquelle car elles mènent toutes au même endroit. L'Un logé en nous est la base de tout les enseignements.

Bien à vous tous,

Pierre

Coucou Pierre ,

Michel, (Bonjour Michel, si tu passes par ici... ) et toi, parlez-vous de la souffrance physique ou de la souffrance morale ?

Parce-qu'arrivé à un certain niveau, je confirme, il n'y a plus de souffrance morale, mais je garde encore une souffrance physique, que je domine bien .

Mais je suppose qu'il n'est pas question de la dominer, mais de ne plus la ressentir.......alors là.....j'ai encore du boulot

Mille tendresses

Claudia

bonjour

ca c'est bien vrai Pierre et yen a meme qui n'accepte plus aucun traitement et encore moin anti-douleur ni meme un transfusion en cas d'emoragie grave

moi aussi comme claudia j'ai du boulot pour en arrivé la
mais heureux de voir que c'est possible d'abolir la douleur de se guerir que par l'union

Coucou Claudia,

Claudia a écrit:

Michel, (Bonjour Michel, si tu passes par ici... ) et toi, parlez-vous de la souffrance physique ou de la souffrance morale ?

La souffrance morale, car pour l'autre on doit être "tolérant vis à vis d'elle". Ce sont les mots de Siddhârta quand il parlait de la souffrance physique. (C'est ce que m'a dit Michel à ce propos )

Bonne journée à tous,

Pierre