coucou
le terme "enfer" vient ... le mieux est de lire ce que j'ai lu il y a longtemps dans un livre de Rampa :
"les clés du nirvana"
Pour en revenir à l'enfer, c'est une chose qui n'existe pas, bien entendu. En réalité, Lenfer était un lieu de jugement, un petit village proche de Jérusalem situé auprès de deux immenses rochers et entre ces rochers s'étendait un marrais brûlant et sulfureux aux odeurs méphitiques. En ces temps reculés, une personne accusée d'un crime était amenée à ce village et subissait les « tourments de Lenfer ». L'individu était traîné au bord du marécage, on lui récitait la liste de ses crimes, et on lui expliquait que s'il parvenait à l'autre rive sans avoir été brûlé il était innocent, mais s'il échouait et se noyait dans le marais il était coupable. Puis ses gardiens poussaient sans ménagements l'accusé, et le malheureux se précipitait dans cette turbulence de vapeurs de souffre, sur le sentier entouré de poix bouillante où la terre tremblait, frappant de terreur les plus forts, et s'il parvenait à l'autre rive il avait franchi la vallée de Lenfert et avais été lavé de toute culpabilité.
Ne croyez donc pas que vous irez en enfer. C'est impossible, car l'enfer n'existe pas. Dieu, quel que soit le nom que nous lui donnions, est un Dieu de bonté et de compassion. Personne n'est jamais condamnée, personne n'a jamais à subir la damnation éternelle, il n'existe pas de diables cornus qui vous plongent leurs fourches dans les reins. Tout cela a été inventé par des prêtres fous qui cherchaient à dominer les corps et les âmes des êtres simples. Nous pouvons donc avoir confiance et être certains que si nous nous en donnons la peine nous pouvons réparer tous nos crimes, quels qu'ils aient été. Personne n'est jamais repoussé, jamais abandonné par Dieu. La plupart des gens ont peur de la mort parce qu'ils n'ont pas la conscience nette, et ces prêtres mauvais les ont terrifiés en les menaçant des flammes de l'enfer et des souffrances éternelles, de la damnation éternelle et ainsi de suite, alors les malheureux s'imaginent qu'à leur mort ils seront aussitôt saisis par des démons qui leur feront subir les pires tortures. N'en croyez rien. Je me rappelle tout, je peux voyager dans l'astral quand je le désire, et je vous affirme que l'enfer n'existe pas, que la damnation éternelle n'existe pas, on peut toujours compter sur la rédemption, on a toujours une autre chance, il y a toujours la miséricorde, la compassion, la compréhension. Ceux qui prétendent que l'enfer et ses souffrances existent sont des fous, des sadiques ou je ne sais quoi, et ils ne méritent même pas que l'on parle d'eux.
-----------------------------------------------------------
et dans le livre "les trois vies" l'honnète Molygruber une fois dans l'au-delà pose des question sur l'enfer:
" Y-a-t-il quelque chose de vrai dans l'histoire qui dit que les gens vraiment saints ont un fauteuil au paradis?» Le docteur éclata de rire: « Oh! Dieu! tant de gens ont cette idée ridicule. Non, il n'y a rien de vrai là-dedans. Les gens ne sont pas jugés en fonction de leur religion, mais du fonctionnement de leur esprit. Font-ils bien pour essayer de bien faire ou pour acquérir une sorte d'assurance pour le moment où ils quitteront la terre? C'est une question à laquelle on se doit d'être en mesure de répondre. Quand les gens passent de vie à trépas, ils voient ce qu'ils espéraient voir. Si de fervents catholiques ont été élevés avec l'idée d'anges, de musique céleste et de saints jouant de la harpe, alors c'est ce qu'ils auront quand ils passeront. Mais quand ils se rendent compte que tout ceci n'est qu'hallucination, ils voient alors la vraie réalité, et c'est leur intérêt de la voir le plus vite possible. »
Il s'arrêta, regarda très sérieusement Molygruber et
113
reprit: « Ce qu'il y a de bien en ce qui concerne des gens comme vous, c'est qu'ils n'ont aucune idée fausse ou préconçue quant à ce qu'ils vont voir. Ils gardent un esprit ouvert — c'est-à-dire qu'ils ne sont ni croyants ni incroyants, ce qui vaut beaucoup mieux que de suivre en esclave n'importe quelle discipline. »
Molygruber était assis immobile, fronçant les sourcils, puis parla: « Quand j'étais gosse, j'avais une peur bleue car on me disait toujours que, si je n'obéissais pas, j'irais en enfer, que là un tas de diables me brûleraient avec des fers rouges, où vous savez, ce qui me ferait atrocement mal. Comment, si Dieu est aussi grand qu'on le dit, s'il est notre Père miséricordieux, peut-il vouloir nous torturer éternellement? C'est ce que je ne peux pas arriver à comprendre! »
Le docteur soupira à plusieurs reprises et dit: « Oui, c'est là une de nos plus grandes difficultés. On a donné aux gens de fausses valeurs... de fausses affirmations; on leur a dit qu'ils iraient en enfer et seraient damnés. Il n'y a, dans tout ceci, pas un brin de vérité. L'enfer, c'est la terre. Les entités vont sur terre pour apprendre, à travers les épreuves, les différentes choses qu'elles doivent savoir. La terre est généralement un lieu de souffrance. Si une personne est peu évoluée elle n'a généralement pas assez de ce que nous appelons karma pour avoir à souffrir afin d'apprendre. Ces personnes restent sur terre pour acquérir quelque expérience en observant les autres et, ensuite, reviennent plus tard pour leurs propres épreuves. Mais il n'existe pas d'enfer après la vie sur terre. C'est une illusion; c'est un faux enseignement. »
« Alors, dit Molygruber, pourquoi y a-t-il tant de choses sur l'enfer dans le Livre saint? »
« Parce que, répondit le docteur, il y avait au temps du Christ un village appelé Enfer. Il était situé en bordure d'une très haute terre, et à l'extérieur de ce village se trouvait un marécage d'où sortaient de la fumée et des vapeurs sulfureuses. Quand une personne était accusée d'une quelconque chose, on l'amenait au village Enfer
114
pour qu'elle y subisse l'épreuve qui consistait à passer à travers ces fumées — selon la croyance qui voulait que si elle était coupable elle ne supporterait pas la chaleur et serait brûlée. Mais si, par contre, elle était innocente ou assez riche pour soudoyer les prêtres du lieu — qui lui recouvraient alors les pieds d'un enduit protecteur — elle pouvait traverser le marais et émerger de l'autre côté, reconnue innocente. C'est à peu près ce qui se passe maintenant avec la façon dont est rendue la justice. L'innocent est souvent emprisonné alors que le coupable reste en liberté. »
je précise qu'en ayant discuté de ça avec des témoins de Jéhova ils me dirent qu'il y a un passage parlant d'un étang fétide et jeuséplu mais ça ressemble bien à ce que dit Rampa !
apluss